«[…] du mignon rassemble beaucoup à celui de la bien-aimée. Les parties du corps qui retiennent le plus l’attention sont toujours les yeux, la bouche, les joues et la taille. Les critères de la beauté masculine sont presque identiques à ceux de la beauté féminine. Qu’il s’agisse d’amour hétérosexuel ou d’amour homosexuel, les poètes usent, à peu de chose près, des mêmes […]»
Afif Ben Abdesselem, La vie littéraire dans l’Espagne musulmane sous les mulūk al-ṭawāʼif: Ve/XIe siècle, Institut français d’études de Damas, 2001, p. 271.