«De noche, sobre todo, ofrecían las Ruinas curioso espectáculo. En la oscuridad del derribo, entre los sombríos lienzos de murallas, de siluetas un tanto temerosas, a través del vuelo giratorio de los podridos fragmentos de papel pintado que el viento arrebataba, entre la huida de piaras de asustados ratones, a tanta distancia cuanto se prolongaba la neblinosa y tenebrosa extensión, descubríanse vagamente, a la luz de cuatro cabos de vela hincalos [sic] en tierra, y por cima del temblequeteo de una pálida claridad, sombras de cuerpos humanos que se paseaban o volteaban en la negrura del firmamento.»
Los hermanos Zemganno (1879), de Edmond de Goncourt (1822-1896); versión y estudio preliminar de la Condesa de Pardo Bazán , cap. XXVIII. Biblioteca Virtual Miguel de Cervantes.
«Au milieu de la nuit, son sommeil fut troublé par un bruit extraordinaire. Il se dressa sur son séant, et le silence profond qui régnait lui permit de reconnaître l’accent alternatif d’une respiration dont la sauvage énergie ne pouvait appartenir à une créature humaine. Une profonde peur, encore augmentée par l’obscurité, par le silence et par les fantaisies du réveil, lui glaça le coeur. Il sentit même à peine la douloureuse contraction de sa chevelure quand, à force de dilater les pupilles de ses yeux, il aperçut dans l’ombre deux lueurs faibles et jaunes. D’abord, il attribua ces lumières à quelque reflet de ses prunelles ; mais bientôt, le vif éclat de la nuit l’aidant par degrés à distinguer les objets qui se trouvaient dans la grotte, il aperçut un énorme animal couché à deux pas de lui. Était-ce un lion, un tigre, ou un crocodile ?»
Balzac, Honoré de (1799-1850) : Une passion dans le désert (1830), según la edición de Calmann-Lévy, París ,1892, (B. M. de Lisieux).
¿Qué puedo decir? El segundo texto no lo puedo leer, pues no sé francés.
¡¡Viva la noche y su luna reveladora!!
La luna es seductora: revelación y entendimiento tienen una motivación de acercamiento a la plenitud, al susurro.
Gracias duckie.