Comunión entre las dictaduras y la oposición no-democrática (citando a Tariq Ramadan)

El artículo entero de Tariq Ramadan,  «Le monde musulman face à Obama», es brillante, pero me quedo con este párrafo que me suena a gloria:

«[…] Les modèles des systèmes politiques dépendent des histoires respectives, de la culture et de la psychologie collective mais les principes sont inaliénables : la régulation par le droit et le suffrage universel sont les seuls moyens pour permettre aux sociétés de sortir de leur impasse politique. Il faut dire et répéter que ces principes ne s’opposent en rien à la référence islamique : ceux qui affirment cela instrumentalisent la religion pour justifier, d’une façon ou d’une autre, la monopolisation du pouvoir ou de son opposition. La critique de ces postures, opposées en apparence mais objectivement alliées de fait, doit être radicale. […]»

Me recuerda por supuesto la radicalidad situacionista, pero estamos en el siglo XXI: es más lúcida, y más realista, habla de las dictaduras puras y duras, que ya no son el capitalismo concentrado ni el capitalismo difuso, sino el espectáculo del poder ejemplificado por los siniestros payasos prsentes en la Cumbre de jefes de Estado árabe de Doha, en Qatar.